Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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56ème grand marché aux puces

22/09/2011 15:24

56ème grand marché aux puces


Ce dimanche 25 septembre se déroulera le  56ème grand marché aux puces de la Ville,  quartiers de la gare et du centre ville. Celui ci commencera à 8H00 et s'achèvera à 18H00 !




Dupont-Aignan à 9% de potentiel électoral selon l’IFOP !

22/09/2011 15:06

Dupont-Aignan à 9% de potentiel électoral selon l’IFOP !


Potentiel électoral et popularité de Nicolas Dupont-Aignan : la progression de la rentrée 2011

Près d’un Français sur dix estime probable de voter Dupont-Aignan (IFOP)

 

C’est l’une des surprises du mois de septembre 2011 : Nicolas Dupont-Aignan consolide de manière significative sa base électorale et sa popularité à presque sept mois de l’élection présidentielle.

Sa cote de popularité progresse dans tous les baromètres :

- aussi bien chez IFOP/Paris-Match où il recueille 19% de bonnes opinions. Nicolas Dupont Aignan trouve ses soutiens parmi les jeunes, 21% des moins de 35 ans et même 22% chez les 18-24 ans. Quand on s’attache à regarder les catégories socio-professionnelles, le député de l’Essonne parvient aussi bien à séduire les professions libérales et cadres supérieurs (23%), que les ouvriers, 20%.

- qu’à l’institut SOFRES/Figaro-Magazine où il progresse de trois points en cote d’avenir à 7%, dont huit points de hausse auprès des sympathisants de droite, faisant de lui l’une des plus fortes hausses du mois d’août 2011 !

Plus largement, dans le dernier potentiel électoral réalisé par l’IFOP pour Debout la République, le 9 septembre 2011, Nicolas Dupont-Aignan obtient un score particulièrement élevé : près d’un Français sur dix estime probable de voter pour lui !

Avec 9% de Français qui estiment probable de voter pour le président de Debout la République, Nicolas Dupont-Aignan dispose d’un socle électoral intéressant, parmi lesquels 13% des 18-24 ans, 11% des 35-49 ans, 13% des ouvriers, 15% des employés, 16% des « sans-diplôme », 13% des habitants du Sud-Ouest, 18% des sympathisants du Front de gauche, 10% des sympathisants de droite, 13% des sympathisants du FN ou encore 13% des électeurs de François Bayrou de 2007 !

Tous ces chiffres illustrent la forte attente des Français à l’égard d’une autre politique et confortent le choix du courage politique que nous avons choisi, ensemble : plus que jamais, Français, reprenez le pouvoir !

http://www.debout-la-republique.fr/Dupont-Aignan-a-9-selon-l-IFOP.html






On a aussi globalisé les crises…

22/09/2011 15:04

On a aussi globalisé les crises…


Même si la théorie de la « mondialisation heureuse » d’Alain Minc a sérieusement du plomb dans l’aile, comme le montrent les sondages sur le libre-échange, ces termes restent encore porteurs de valeurs positives. Il faut dire que l’on oublie souvent que les crises aussi ont été mondialisées.

Des cales des bateaux…

C’est une remarquable image de Jacques Sapir, qu’il emploi dans « Le nouveau 21ème siècle ». Pour lui, avant la mondialisation, l’économie mondiale était comme les cales des bateaux, compartimentée par des cloisons étanches qui pouvaient être fermées à loisir. Ces cloisons pouvaient naturellement être ouvertes, ce qui permettait de transporter des choses dans la cale. Mais elles pouvaient aussi être fermées. Ainsi, une voie d’eau dans la coque pouvait être contenue.

La globalisation de l’économie mondiale, c’est un peu comme si on retirait toutes les cloisons au prétexte qu’elles ralentissent les échanges entre les différents compartiments et que, de toutes les façons, des voies d’eau très graves arrivent très peu souvent. Le problème est que nous avons connu une voie d’eau sévère en 2008, qui a bien menacé de faire couler l’ensemble de l’économie mondiale. Et aujourd’hui, il n’est pas sûr que les pompes rejettent plus d’eau qu’il n’en rentre.

En effet, il est pour le moins paradoxal que les errements du marché immobilier étasunien aient pu provoquer un tel cataclysme financier. Bien sûr, il n’a été que le révélateur des déséquilibres colossaux de la finance internationale, mais il est tout de même incroyable que les prêts NINJA (No Income No Job Application) proposés par des banques inconscientes pensant se protéger des risques par la titrisation ou en se couvrant par des CDS aient provoqué une telle crise.

Une autre raison pour la démondialisation

Dans le monde d’avant la libéralisation des mouvements de capitaux, la crise serait restée confinée aux Etats-Unis, qui auraient alors du nettoyer les errements de leur système financier, comme ils l’avaient fait avec les caisses d’épargne à la fin des années 1980 et au début des années 1990. Le reste du monde aurait sans doute fait quelques pertes mais l’étanchéité des systèmes financiers nous auraient protégés de cette crise, comme les cloisons étanches d’une cale de bateau…

Pourquoi presque personne ne souligne cet aspect de la globalisation ? La globalisation, ce n’est pas seulement la liberté de circulation des personnes, des biens et des capitaux, qui met en concurrence les travailleurs des pays développés, gagnant plus de mille euros par mois avec ceux de pays émergents qui peuvent gagner jusqu’à trente fois moins. Ce n’est pas seulement la création d’un terrain de jeu idéal pour les multinationales et la finance, au détriment des Etats.

C’est aussi un processus qui provoquer une contagion instantanée des crises sur l’ensemble de la planète. Les quelques pays qui protègent encore leurs marchés des capitaux pouvant s’en tirer un peu mieux. D’ailleurs, un papier de The Economist montre que depuis le milieu des années 1990, la globalisation a provoqué une corrélation grandissante entre les indices boursiers de la planète puisque l’indice de corrélation est passé de 0.5 à plus de 0.8, flirtant avec 0.9.

Une nouvelle raison d’aimer l’indépendance, sans verser dans l’autarcie bien sûr. Elle protège des crises extérieures et évite de faire souffrir les peuples de maux dont ils ne sont pas responsables. Mais il y a un préalable indispensable : le rétablissement de frontières, les cloisons de notre économie.

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






Comprendre la dette publique

22/09/2011 14:51

Comprendre la dette publique


Ce petit article trouvé sur Youtube.

ATTENTION cette vidéos comportent quelques erreurs techniques (mais sans que cela impacte le message global), une autre vidéo est en cours de préparation pour corriger ce problème.

Apprenez en quelques minutes ce qu'est la monnaie fiduciaire, la monnaie scripturale, le système des réserves fractionnaires, et l'article 123 du traité de Lisbonne... sans lesquels il est impossible de comprendre l'origine des dettes publiques qui ravagent l'ensemble des pays développés.

http://www.youtube.com/watch?v=fIyPMzaK_Cc






L’enfermement narcissique de l’Union Européenne

22/09/2011 08:26

L’enfermement narcissique de l’Union Européenne


 Au fil des commentaires, la crise bancaire européenne a été l’occasion d’observer non pas le fonctionnement de l’Union mais la rhétorique qui l’enveloppe, mélange de désinvolture informative et de jugements péremptoires. Des mots nouveaux (eurobond) vrombissent dans les commentaires bien avant que leur sens ne soit éclairci. Des actes sont annoncés (les « rachats » de la BCE) sans être décrits. Reviennent surtout des prophéties de malheur jugées trop évidentes pour être démontrées, du type : « Avec l’euro, c’est l’Europe qui s’effondrerait », ou : « Avec le délitement de la zone euro, la situation serait incontrôlable » (comme si, maintenant, la finance était « sous contrôle » !). Foin des détails pourvu que lecteur ait son cours d’éducation européenne !

La difficulté de s’expliquer sur ses faits et gestes semble consubstantielle à une Europe confite dans son dogmatisme pratique. Ce à quoi il ne faut pas toucher, ce ne sont ni des principes ni des concepts, encore moins des buts, mais l’organisation elle-même, sanctuarisée par l’appellation de « construction ». Dans les périodes de flux, cette machine en développement apparaît portée par une bienheureuse fatalité. Mais, dans les crises, le déficit d’explication est un handicap : comment reformuler une visée qui n’a jamais été définie ?

L’Europe instituée se cramponne alors à ses emblèmes, à moins qu’elle ne passe à la contre-offensive en invoquant, comme actuellement, « l’urgence ». L’urgence permet non seulement de parer au plus pressé, mais aussi, comme disent les éditorialistes pieux, de « s’en sortir par le haut » ; en fait, de prendre argument de l’échec pour aller plus loin. On peut douter que cette démarche réactive convienne à une institution supposée représenter l’avenir. Ne se condamne-t-elle pas à être toujours occupée des effets de son passé ?

Ce passé, aujourd’hui, c’est la dette. Si on en confie la gestion à l’Union, nous explique-t-on, ce « pas en avant » fera oublier de possibles erreurs de conception. Enlever aux Etats la gestion de leur monnaie, n’était-ce pas leur faire croire sans danger des conduites aventureuses ? Priver les gouvernements de la possibilité de dévaluer, n’était-ce pas les exposer à la faillite ?

On oublie que la dette ne serait pas si lourde si l’euro avait répondu aux espoirs de croissance dans l’ensemble de sa zone. Cette déconvenue montre qu’on a eu tort de lier monétairement des économies très différentes et qui le sont souvent devenues encore plus. Pourtant, on ne critique pas le défaut de conception, on s’en prend à l’inconduite des gouvernements et des peuples, et l’on envisage qu’un pouvoir européen renforcé leur imposera non seulement des critères communs mais une politique commune. Ainsi avance l’Union. Mais est-on sûr qu’à dénier l’hétérogénéité des peuples celle-là ne reviendra pas, contournant ou paralysant les dispositifs prévus ? Cela peut se dire d’un mot : l’Europe est conçue comme un destin, le mot « destin » évoquant quelque chose de sacré, qui scelle l’histoire et surplombe les débats possibles. Cette auto-sacralisation narcissique explique que l’Europe instituée n’ait pas eu l’idée d’une stratégie devant les ambitions des nouvelles nations empires.

L’organisation européenne échappera-t-elle à une complaisance paralysante que le basculement du monde a rendu ridicule ? Ce passage de l’être à l’agir exigerait une double prise de conscience : à l’intérieur, celle d’une hétérogénéité non pas à neutraliser mais à mobiliser ; vers l’extérieur, celle des tâches qu’impose une mondialisation dont l’Europe n’est pas le centre, qui se déploie en une multitude de crises (économiques, écologiques, démographiques, migratoires, religieuses, spirituelles).

En fait, ce sont deux aspects de la même réorientation : cesser de se croire « la » solution. On semble ne plus croire que l’Europe donne à nos nations un supplément d’influence internationale. En revanche, on la loue de symboliser la rigueur. A-t-on raison ? La bonne voie de la rigueur est-elle d’acculer les peuples, de les priver de la marge de manœuvre nécessaire pour qu’ils aient confiance en eux-mêmes et anticipent les résultats de leurs efforts ? Cette nécessaire marge de manœuvre a évidemment un aspect monétaire. Que peut une nation si le cours de sa monnaie l’empêche d’accéder aux principaux marchés ? De nombreux exemples le montrent : entre la dévaluation et la remise en ordre intérieure, il n’y a pas toujours contradiction. Sans remonter à Poincaré en 1927 ou à de Gaulle en 1958, on constate que les pays donnés actuellement en exemple pour avoir réformé leur Etat et leur système de solidarité (Danemark, Suède, Finlande, Canada) l’ont fait après dévaluation.

C’est pourquoi on a pu préconiser que l’euro cesse d’être monnaie unique pour devenir une monnaie commune par rapport à laquelle le cours des monnaies intérieures aux nations pourrait être réajusté. Dire que ce serait la fin de l’Europe n’a de sens que si l’on se donne comme horizon une Europe talisman. Il faudra choisir entre cette Europe et une Europe des ambitions partagées grâce à une vie politique métanationale.

La seconde orientation s’impose pour une raison fondamentale : l’Europe se détruit elle-même en érodant et démoralisant les nations qui la composent. Sans évoquer la montée générale des populismes, on voit qu’en France la stratégie politique qui veut réformer au nom des exigences extérieures a échoué. La capacité d’intégrer les arrivants, celle d’éduquer, celle d’articuler les ambitions de l’élite et les valeurs populaires… n’ont jamais été aussi faibles. Le sentiment d’être contraint produit une perte de confiance collective, donc l’obsession des droits et de la plaignance. D’où notre paralysie, nos rétractions, nos fractures ethniques et sociales. Sans vue d’avenir, sans autre but qu’elle-même, l’Europe fatalité n’est pas un objet politique nouveau mais un objet antipolitique, une instance de contrôle et d’encadrement dont l’extension étouffe le civisme.

On nous a fait peur cet été avec le danger que l’Europe instituée n’« éclate », manière de nous faire oublier les effets de sa routine sans fin. Peut-on espérer que, nous libérant d’une obsession peu productive, la campagne présidentielle déborde le débat habituel, « plus ou moins du même », mais fasse apparaître cette nouveauté, une Europe qui se définisse selon des buts et non par toujours plus d’institutions.

Paul Thibaud

Philosophe et ancien directeur de la revue Esprit.

http://www.debout-la-republique.fr/L-enfermement-narcissique-de-l.html






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